Maillot domicile toulouse
Pour son retour dans l’élite, le TFC garde une ossature stable. Cette affirmation est exacte, mais le premier de ces deux trophées a été remporté par l’ancien Toulouse Football Club, dissout en 1967. Il n’entre pas dans le palmarès du nouveau Toulouse Football Club, créé en 1970. Le club, à travers son logo et sa communication, mais aussi la Fédération française de football, entretiennent cette confusion, cette dernière ayant récemment offert au club une réplique du trophée de 1957, ce dernier ayant été perdu. 9e position au printemps 1949. À partir de l’été 1949, le club de la cité des violettes évolue enfin au Stadium, dont les travaux avaient été interrompus par la guerre, et pouvant accueillir jusqu’à 35 000 spectateurs. Le club plonge cependant à nouveau à la fin des années 2000 et est relégué en Division 2 à l’issue du championnat 2010-2011. En 2012, auréolée d’un titre de championnes de D2, l’équipe remonte en première division mais n’arrive pas à se maintenir dans l’élite et finit dernière du championnat.
Jusqu’en 2010-2011, la section féminine évoluait en première division sur le Stadium annexe. Articles détaillés : Stadium de Toulouse et Stade Ernest-Wallon. Chaque saison, le Toulouse FC publie son budget prévisionnel de fonctionnement après validation auprès de la DNCG, l’instance qui assure le contrôle administratif, juridique et financier des associations et sociétés sportives de football afin d’en garantir la pérennité. Le club a cependant du mal à se maintenir, et ne retrouve ce niveau de la compétition que quelques années plus tard, en 1988. Le club a malgré tout du mal à se stabiliser à ce niveau et replonge pour une saison, juste le temps de décrocher un titre de championnes de seconde division en 1994. Le club connait alors la plus belle période de son histoire en décrochant quatre titres consécutifs de championne entre 1999 et 2002 ainsi qu’une victoire en Challenge de France, alors que le club est absorbé par le Toulouse FC. Le palmarès de l’équipe féminine du Toulouse FC comporte quatre championnats de France, un challenge de France et deux championnats de France de seconde division. En Coupe de France, après avoir successivement éliminé Angoulême, FC Gueugnon, l’Olympique lyonnais et le FC Sochaux, les Rouge et Blanc affrontent le RC Strasbourg en demi-finales.
Parmi eux, le club obtient un bon match nul contre l’Olympique lyonnais à l’extérieur et gagne 3 matchs à domicile contre des adversaires au maintient (Reims, Montpellier, Angers). André Frey, au club depuis 1944. Rapidement, les Toulousains sont à la lutte en haut de tableau avec Strasbourg. En revanche, 1960 voit le retour des Toulousains en haut de tableau. Il est également un tremplin vers le très haut niveau (et source de gros transferts) pour d’autres joueurs comme Jérémy Mathieu cédé au FC Valence, Aymen Abdennour (cédé à l’AS Monaco) ou encore Serge Aurier (cédé au PSG). Avec une équipe largement remaniée à la suite du départ de cadres comme Vakoun Bayo, Deiver Machado, Manu Koné ou encore Amine Adli, l’équipe se tourne désormais vers l’arrivée de nouveaux talents venus de l’étranger comme Ado Onaiwu, Rasmus Nicolaisen, Denis Genreau ou bien Mikkel Desler tout en s’appuyant sur certains joueurs de l’année dernière : Brecht Dejaegere, Stijn Spierings ou Branco van den Boomen.
Lors de la saison 2008-2009, le TFC souhaite se relancer à partir des bases posées en 2006-2007, avec comme nouvel entraîneur Alain Casanova ainsi qu’une équipe renouvelée à la suite de nombreux départs (Douchez, Elmander, Emana…). M. Bardou reste président et Enée entraîneur. Victor Zvunka devient alors le nouvel entraîneur du club haut-garonnais. Les deux tableaux ci-dessous synthétisent les plus grosses ventes et achats de joueurs dans l’histoire du club toulousain. De nouveaux joueurs font leur apparition comme Noël Sinibaldi, mais très vite, les résultats sont plus que moyens ; M. Bardou est alors rappelé à la présidence. Le statut du TFC est notamment valorisé grâce à sa formation, ayant permis l’éclosion de joueurs comme Moussa Sissoko, Étienne Capoue, Franck Tabanou ou Wissam Ben Yedder. Alain Giresse ayant succombé aux sirènes parisiennes, Guy Lacombe lui succède. Opposés aux Roumains du Dinamo Pitesti, les Toulousains s’imposent 3-0 devant une petite chambrée (5 000 spectateurs). Le match décisif entre les deux clubs se déroule à la Meinau devant 27 000 spectateurs dont un millier de Toulousains. Puis, en 1984, la loi Avice interdira que deux clubs professionnels situés dans deux départements différents puissent fusionner (unicité du lieu de compétition et du lieu de siège social), à moins de déposer le bilan et de rester amateurs (l’exception sera la mise à disposition d’un stade pour une équipe professionnelle d’une autre ville).